Tafel-Table 27 - kirchenbezirkseeland

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Tafel-Table 27

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Zur Geschichte der Kirche Vinelz
Die Kirche ist romanischen Ursprungs mit unbekanntem Datum. Wohl im 14. Jahrhundert entstand als Erweiterung aus einem kleinen Chor der fluchtende Chor. Von spätgotischen Fenstern sind Masswerkfragmente aus Sandstein und Neuenburgerstein übrig. Der Taufstein im Chor stammt wohl aus dem 13. Jahrhundert.
Ob die Kirche lange turmlos war, weiss man nicht. Es wird vermerkt, dass die Kirchgenossen Glocke und Ziegel und anderes Baumaterial von der Siebeneichen-Kapelle her holten. 1542 erhielten sie einen obrigkeitlichen Beitrag von 60 Pfund an den Bau ihres Turms.
1667/68 wurden Dachstuhl und Decke gesamthaft erneuert und die Chormauer etwas erhöht. 1690 überwies der Staat eine Beisteuer für Kanzel, Chorgestühl und Decke. Die Fenster wurden zweimal neu gesetzt, zuletzt 1790. Die Kanzel und die paar Chorstühle stammen aus dem 17. Jahrhundert.
Der letzte Umbau fand in den Jahren 1950 - 1952 statt. Dabei legte man das Chorfenster frei. Die damalige Empore im Chor verlegte man an die Westwand und rekonstruierte das alte Tonnengewölbe. Man entdeckte auch Wandgemälde, die im Zuge der Reformation übertüncht wurden. Sie stammen aus verschiedenen Epochen und überschneiden sich sogar teilweise. Die Wandgemälde wurden hervorgeholt und möglichst originalgetreu rekonstruiert.
An der Nordwand blieb vom übergrossen heiligen Christophorus nur der Kopf und der spriessende Stab erhalten. Darunter sind die Seelen in Abrahams Schoss und ein Fragment des heiligen Michael als Seelenwäger zu sehen. Gleich daneben an der Westwand ist das Höllenfeuer dargestellt. An der Nordwand befinden sich vier Friese mit Szenen aus dem Leben Christi: Der Tod Mariens, die Geburt Jesu, Passion und Ostern.
Oben an der Südwand ist die Darstellung des Heiligen Martin, der seinen Mantel mit seinem Schwert zerschneidet, gut erhalten.
Barockes Rankenwerk zog sich durch die ganze Kirche als Fries, schmückt die noch bestehenden romanischen Hochfenster und umrandet die barocken Fenster. Die drei modernen Glasmalereien wurden bei der letzten Renovation 1951 geschaffen.
L'église de Vinelz (Fenil) et son histoire
Un petit chœur a peut-être été ajouté à la nef romane (date de construction inconnue). Au XIVe siècle, il est agrandi. Des fenêtres gothiques tardifs proviennent d'importants fragments de molasse et de pierre d'Hauterive. Les fonts baptismaux datent du XIIIe siècle.
On ne sait pas si l'église est restée longtemps sans clocher. On a découvert que les paroissiens ont pris les cloches, les tuiles ainsi que d'autres matériaux à la chapelle dite des "Sept chênes". En 1542, ils reçoivent une contribution officielle de 60 livres pour la construction de leur tour.
En 1667 / 68, la charpente et le plafond ont été intégralement rénovés et le mur du chœur a été légèrement élevé. En 1690, l'Etat débloque une contribution pour la chaire, les stalles du chœur et le plafond. Les fenêtres ont été modifiées à deux reprises, en 1790 pour la dernière fois. La chaire et une partie des stalles du chœur sont du XVIIe siècle.
La dernière transformation date de 1950-1952. C'est à ce moment qu'on installe le vitrail du chœur. L'ancienne galerie dans le chœur est déplacée sur la paroi ouest et l'ancien plafond en berceau a été reconstruit. On a découvert les peintures murales qui avait été recouvertes à la suite de la Réforme. Elles ont été restaurées et rétablies aussi fidèlement que possible dans leur état original.
Sur la paroi nord, il ne reste que la tête d'un saint Christophe monumental qui tient un bâton bourgeonnant. Au dessous se trouvent les fidèles emportés dans le sein d'Abraham et un fragment de saint Michel avec sa balance pour peser les âmes. Sur le mur ouest, le feu de la géhenne. Sur le mur nord, quatre scènes de la vie du Christ: la mort de la Vierge, la nativité, la passion et Pâques.
En haut de la paroi sud, la représentation de saint Martin avec son manteau et son épée sont bien visibles. Un décor baroque s'étend comme une frise à travers toute l'église. Elle décore les fenêtres romanes qui subsistent et entourent les fenêtres baroques.
Trois vitraux modernes ont été créés dans la nef lors de la dernière rénovation en 1951.
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